De l'art de dominer des grosses vagues
Foto de Jason Reed, Australia

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De l'art de dominer des grosses vagues

Peu de gens ont déjà ressenti les mêmes sensations que les surfeurs de gros. Les mois d'octobre et de novembre marquent le début de la saison des grosses vagues.

Fin octobre début novembre, les océans se réveillent de leur léthargie estivale et lancent le début de saison pour les surfeurs de gros, prêts à aller à la guerre et à entrer dans l'eau déchaînée. La raclée n'est pas loin, la décharge d'adrénaline immense et la moindre maladresse, teintée d'audace, fatale.

L'appréhension et la barre passées, les big wave riders peuvent alors prendre leur shoot d'adrénaline au cours de sessions aussi musclées que spectaculaires, au milieu de la nature qui se déchaîne.

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Kerby Brown, surfant une vague parfaite dans un endroit tenu secret, sur la côte ouest de l'Australie. Photo Andrew Buckley / Reuters

Les vagues géantes du Punta Galea Challenge, qui a lieu près de Getxo au Pays basque, sont des références mondiales. Photo de Joseba Etxaburu / Reuters

Lors des compétitions de grosses vagues, un jet-ski peut parfois sauver des vies, comme lors du Cape Fear, compétition organisée tous les ans en Australie. Photo Jason Reed / Reuters

Chaque année, les vagues de Nazaré, au Portugal, font le tour du monde, pour leur taille et leur magnificence. Photo Rafael Marchante / Reuters

Des impressions de chaos lorsqu'une vague se casse. Ici à Nazaré. Photo Rafael Marchante / Reuters

Joel Parkinson sur l'île d'Oahu à Hawaï. Photo Kelly Cestar / Reuters

Bien sûr, avoir du bon matériel est vital pour survivre dans ces murs d'eau. Photo Rafael Marchante / Reuters

Savoir sortir de la vague au bon moment et aussi important que savoir bien la prendre. Ici un surfeur à Dungeons Reef en Afrique du Sud. Photo Mike Hutchings / Reuters

L'entrée dans l'eau, première étape avant de passer la barre. Photo Mike Segar / Reuters