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Curio-Cité : découvrir la ville par l’Urbex

Pour les amateurs de la discipline, la doctrine est simple : la ville est un terrain de jeu. Curio-Cité invite à l’exploration urbaine de Paris.

Cet article a été écrit en partenariat avec Google dans le cadre du projet Curio-cité.

Google se met à l’exploration urbaine. Avec son programme “Curio-Cité”, Google invite à (re)découvrir les villes, son architecture cachée, courbée, parfois même abandonnée. À travers le regard d’un artiste, les épisodes de “Curio-Cité” racontent l’histoire d’une aventure urbaine et sensible, mouvante et singulière.

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Pour son premier épisode de “Curio-Cité”, Google a fait appel aux talents d’explorateur de David de Rueda. Des ruines de Tchernobyl à celles d’une ère spatiale soviétique, le photographe David de Rueda a traversé l’Europe (9 pays en 45 jours) et d’autres continents pour s’immiscer dans ces lieux abandonnés chargés d’histoire. Une passion qui ne l’a pas quitté depuis sa première exploration d’une base sous-marine abandonnée de la Seconde Guerre Mondiale. Surréalistes, les photographies du jeune homme donnent parfois l’impression de plonger en pleine science-fiction.

Le photographe David de Rueda utilise Google Earth et Google Maps pour trouver ses lieux désertés. Tournée en 360°, la vidéo suit alors la vision du jeune homme : ses premières impressions lorsqu’il pénètre dans un endroit pareil, sa vision sur la photographie d’urbex, ses doutes et ses envies. Accompagnée d’une amie, la vidéo 360° (que l’on peut regarder avec la Cardboard de Google) nous plonge dans une troublante atmosphère : immensité de béton armé, géométrie architecturale, obscurité séduisante. Le photographe capte alors ces découvertes urbaines. Pauses longues et saut d’humeurs. Pour les disciples, un leitmotiv revient d’ailleurs souvent : c’est une “autre manière” de voir les choses, “un peu hors du temps”.

La communauté urbex a bel et bien sa philosophie, sa mentalité, son éthique. Si la ville est un terrain de jeu, le joueur doit en respecter les règles :  “Ne prends rien que des photos. Ne laisse rien que des traces de pas. Ne tue rien que du temps. Ne garde rien que des souvenirs”, écrit Ninjalicious, figure de proue de l’urbex, dans son livre “Access All Areas”. L’explorateur n’est là que pour vivre sa propre expérience, témoigner d’une vision.

Ils découvrent ainsi la ville autrement : dans son passé, ses déroutes, ses évolutions. Ils regardent sans doute là où les yeux ne pensent pas à se poser.

Cet article a été écrit en partenariat avec Google dans le cadre du projet Curio-cité