Jeudi, la NMD Party d'adidas Originals vous emporte dans la 4ème dimension de l’Hyper­Cube

Le 1er septembre, les murs grondent, la terre tremble et ton corps avec. Dans une atmosphère futuriste d’un lieu abandonné, la NMD Party, organisée par adidas Originals, invite Maya Jane Coles, Clara 3000 et Bambounou pour s’éclater dans l’installation interactive “Tesseract” aka Hyper­Cube.  Le futur lieu de la fête et de la sueur arrive à Paris : un lieu abandonné réinventé en structure métallique quadridimensionnelle connectée aux machines de Bambounou et Maya Jane Coles. Une expérience visuelle et sonore, spatiale et dantesque : adidas Originals invente le futur en redécouvrant le passé. Ode à la rave extatique.

Ce n’est pas un hasard si le lieu est laissé au soin du studio 1024 architeture. L’univers tient aussi bien de l’urbain que de l’espace, du physique que du numérique. Un vortex d’idées cinglées. Le studio 1024 architecture est un ovni. Depuis 1996, ses fondateurs Pierre Schneider et François Wunschel créent des installations démesurées : une “architecture augmentée” dorée au pixel numérique qui répond au son, aux lumières, au mouvement. Immersion proche de la kinesthésie sensible.

On pense alors au 3D­Bridge réalisé en 2014 pour la Nuit Blanche, à Paris, qui proposait une ossature spatiale sonore et visuelle à échelle micro urbaine. Ou à cette installation démente à Bordeaux, Vortex , contrôlée par un joystick de Playstation et qui indiquait la consommation énergétique du lieu en synchronisation avec la musique ambiante. Le studio brouille les frontières de l’art, de l’architecture, de la performance et de l’invention numérique. adidas Originals a choisi de s’associer avec eux pour créer le club du futur.

Projet nomade, l’ Hyper­Cube a déjà fait ses adeptes outre-­atlantique. Il a d’abord été présenté à Vancouver lors du New Form Festival 2013 avec les artistes Fernando Favier, Cédric Bomford, Innes Yates et Reece Terris. Et le club géant ne s’est plus arrêté : Prague, Eindhoven, Mexico et dans la base sous-­marine de Bordeaux pour la Semaine Digitale 2014.

On imagine aisément l’effet stroboscopique sur les sons de Bambounou et Maya Jane Coles. Comprenez, une ambiance hors du temps sur une techno­house sorti de l’antre du diable. De quoi faire vriller les lumières et ta rétine. On n’a pas fini d’embrasser l’aube.

Cet article a été écrit en partenariat avec adidas Originals.