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Culture

Quand le tatouage rencontre les classiques de la peinture

À l'occasion du Mondial du Tatouage, Nicolas Amiard a tatoué les oeuvres de Manet, Rembrandt, Courbet et De Vinci.
Images courtesy the artist.

L’an dernier je suis allé au Mondial du Tatouage à Paris. C’était extrêmement nul. Vraiment. Qu’on aime les tatouages ou non, je n’ai vraiment pas compris l’intérêt d’un tel rassemblement. Mais bon, je dois bien être le seul puisque l’édition 2015 a ramené quelques 32000 zouaves plus ou moins noircis à l’aiguille. Parce que le mondial revient cette année dans quelques semaines, le graphiste Nicolas Amiard s’est mis à la page. Celui qui s’est fait connaitre en faisant entrer Star Wars dans la ville a de nouveau flairer le bon coup de buzz avec sa série The Art of Tattoo où il s’est amusé à tatouer les modèles présents sur de grands classiques de l’histoire de l’art.

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Du 17ème au 18ème siècle, des oeuvres de Manet, Courbet et Da Vinci se retrouvent — sans qu’on leur ait demandé leurs avis — recouvertes de peintures de guerre plus ou moins dégueulasse. « Pour cet événement, je me suis demandé ce que cela donnerait si le tatouage moderne rencontrait la peinture classique. » explique Amiard. L'avantage de cette série c'est que le premier week-end de mars, je sais désormais que je ne serai pas à La Grande Halle de la Villette, mais sûrement à Orsay.

On vous laisse découvrir ça ci-dessous :

Tout ce que vous voulez savoir se trouve sur le site de l’évènement. Pour ce qui est de Nicolas Amiard, c’est sur son site.