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Culture

Les maisons minimalistes de Massimo Uberti

Besoin de rien, envie d'un toit.
Uno Studio, 2003, néon et cables, 360 x 500 x 500cm. Toutes les photos via

Vous vous rappelez du film de Lars von Trier ? Dogville ? L’intégralité des décors n'était qu'un vaste marquage au sol avec du ruban adhésif. Une sorte de ville ultra minimaliste qui ouvrait ses murs pour se faire encore plus opprimante. Et bien on retrouve un peu de cela dans les installations de Massimo Uberti. Depuis presque dix ans, cet artiste milanais sculte avec des néons des maisons faites de lumière. Dans les structures, on trouve souvent des tables ou des chaises. Le strict minimum pour vivre, à l’image de l’ensemble de l’oeuvre. « J’aime réaliser ces architectures de lumière parce que la lumière est centrale, les peintres de tout temps l’ont bien compris. J’utilise des tubes de néon pour construire des espaces à des personnages poétiques. Des lieux de reflections, quelque chose qui soit nécessaire à tous. »

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Découvrez en plus ci-dessous :

Senza fine, 2006, néon et cables de nylon, 300 x 500 x 500cm

Drawing of a drawing, 2014, néon et cables, 600 x 500 x h300 cm

Drawing of a drawing, 2014, néon et cables, 600 x 500 x h300 cm

Retrouvez tous les projets de Massimo Uberti sur son site.