FYI.

This story is over 5 years old.

Culture

Notre sélection des pires œuvres d’Art Basel

La palme revient à Paul McCarthy pour son “Tomato Head” — mais la compétition était rude.

Basel est devenue l’épicentre mondial de l’art contemporain la semaine dernière, avec l’édition 2016 de la foire Art Basel, qui s’est tenue du 16 au 19 juin. Si vous n’y étiez pas non plus, remerciez donc le monde moderne dans lequel nous vivons de nous permettre de vivre cette grand messe par procuration grâce à ces petites merveilles de réseaux sociaux.

Rien de tel qu'Instagram pour visiter la foire depuis votre canap’ sans se farcir les participants pétés de thunes, atrocement mielleux ou ennuyants à mourir qui la peuplent. De notre côté, on en a profité pour repérer les œuvres les plus chelous de cette 47e édition. Notre coup de cœur revient à Tomato Head (Green) de Paul McCarthy, une sculpture de 1994 représentant un humanoïde à tête de tomate, avec pour seule tenue un pull vert et un parallélépipède jaune à la place du sexe, entouré d’objets épars.

Publicité

Ci-dessous, les autres joyeusetés d’Art Basel en images :

Pamela Rosenkranz, Blue Runs, 2016

Via

Davide Balula, Mimed Sculptures, 2016

Via

Ariel Schlesinger, Two Good Reasons, 2015

Via

Alicja Kwade, Out of Asia, 2016

Via

Pedro Cabrita Reis, South Wing, 2015

Via

Tony Oursler, template/variant/friend/stranger, 2016

Via

Anish Kapoor, Dragon, 1992

Via

Donald Moffett, The Radiant Future, 2011

Via

Pierre Klossowski, Diane & Acteon, 1990

Via

Laura Lima, Ascenseur, 2013

Via

Raphaela Vogel, Teint Eklat, 2014

Via

Si vous avez repéré d’autres perles à Art Basel, n’hésitez pas à les partager dans les commentaires ci-dessous.